Madam Secretary
La vie personnelle et professionnelle d'une secrétaire d'État (ministre des Affaires étrangères) non-conformiste, tandis qu'elle conduit la diplomatie internationale, se débat avec les intrigues de bureau et jongle avec une vie de famille compliquée.
Terminée | Américaine | 45 minutes |
Drame, Judiciaire, Drama | CBS | 2014 |
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1.01 - Le baptême du feu
Pilot
Lorsque le Secretaire d'État américain meurt dans un mystérieux accident d'avion, le Président des États-Unis Conrad Dalton désigne Elizabeth McCord, une amie de longue date, comme sa remplaçante. Chargée de la diplomatie internationale, cette femme brillante qui a fait carrière dans la CIA doit désormais jongler avec la bureaucratie, le personnel mis en place par son prédécesseur qui ne lui est pas toujours favorable, la presse féroce, les dîners officiels superficiels et sa vie de famille.
Diffusion originale : 21 septembre 2014
Diffusion française :
21 septembre 2014
Réalisat.eur.rice.s :
David Semel
Scénariste.s :
Barbara Hall
Guest.s :
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Critique : Madam Secretary 1.01
La meilleure nouveauté de la rentrée ou gros pétard mouillée ?
C'est bizarrement TOUJOURS la même chose dans les séries US pour les femmes : c'est toujours un "accident" qui le place en position de pouvoir. Coucou Veep, BSG et Commander in Chief !
Le pitch de base est d'une stupidité assez crasse : on n'y croit pas une seconde et on y croit encore moins au fur et à mesure que ce pilot avance. Sur le point de vu de réalisme du sujet, même House of Card est plus crédile (c'est dire...). De toute évidence, la showrunneuse (une ancienne de Homeland) n'a aucune foutu idée de ce qu'est vraiment la politique. Alors la série se contente d'une politique de théâtre, fait de twist ultra clinquant et de discours bâclés. Et ce n'est pas non plus sur le reste que se rattrape le show : les personnages secondaires (même le président) sont inexistants.
Alors que reste-il ? Il reste Tea Leonie qui transporte complètement ce pilot. Tea Leonie qui fait passer les plus grosses absurdités du scénario ("No one will miss Syria if it's completly self destruct") tout doucement.
La série a cartonné donc il faudra voir si cela se renchérie sur la longueur, mais ça sera sans moi : je n'ai pas assez d'affection pour Tea pour m'infliger ça.